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Les Montluçonniales

  • par Phil Ricardson
  • 25 sept., 2018

La véritable histoire de Galopin le galopan au salon du livre.

 

2018 - Drame, histore vraie – interdit aux enfants de moins de 6 mois et aux femmes enceintes. Pegi 27. Peut contenir des traces d’arachides.

 

Samedi 22 septembre, 5h du matin.

 

Voilà 5 jours que j’ai quitté ma Fernande. Hier, la nuit et le froid ont eu raison de Lucien, mon vieux compagnon de route. Comment expliquer à Fernande que Lucien n’est plus ? Je me revois encore traire Fernande tandis qu’elle se fait taquiner par Lucien. Un sourire nostalgique se dessine alors sur mon visage fatigué, mais déterminé. Des mois que j’attends ce moment et je me dois de continuer. Mon objectif n’est plus qu’à 5h de marche vers le nord. J’adore marcher. Galopin le galopan, c’est le surnom que me donnait ma mère quand j’étais marmot.

Samedi midi, 12h50. La douceur du soleil me caresse gentiment le croupion. Je prends une grande inspiration et pénètre dans l’enceinte d’Athanor. Un rai de lumière traversant les vitraux semble me guider vers la salle dans laquelle je dois me rendre. Tout semblait idéal jusqu’au moment où, sur ma droite, une jeune femme (environ 29 ans) vienne croiser ma route. Je lui lançais alors un sourire tandis qu’elle me gratifiait d’un « salut pauv’ naze » avec un fort accent Cosnois.

« Bonjour Magali » lui dis-je gentiment en accompagnant sa marche rapide. Elle me répondit par un croche-patte bien placé qui me fit m’étaler de tout mon long sur le sol carrelé. C’était bien entendu mérité ; autant de familiarité de ma part ne se fait pas.

Je pénètre la salle timidement faisant maintenant face à une véritable ruche d’auteurs. Ça s’agite, ça rigole. Une joie m’étreint : « j’y suis… »

Je jette un coup d’œil rapide et reconnait des visages familiers : Christine, Brigitte, Philippe avant de me présenter timidement aux nouveaux : Mélanie, Maïté, Agnès, Corinne et Alick.  Je me sens bien jusqu’à ce que la dénommée Magali, jalouse de mon talent, fasse tomber tous mes livres sur le sol. Qu’importe, rien ne pourra assombrir cette journée. Je remets tout en place et m’installe jusqu’au soir.

Samedi soir, 19h. Quelques auteurs et moi-même se rejoignons dans un restaurant au nom exotique. N’ayant rien mangé depuis trois jours, j’engloutis quelques assiettes de plats préparés tout en m’amusant des anecdotes et blagues de mes compagnons de table.

Rassasié, nous quittons l’établissement pour rejoindre nos pénates chacun de notre côté. Je croise alors fortuitement Alick qui s’en allait, guilleret, rejoindre son logement. Après quelques échanges intéressants sur des sujets divers et variés et des bâillements incessants de sa part me signifiant qu’il fallait partir, je le laissais à Morphée. N’ayant pas d’endroit où dormir, je m’apprêtais à m’allonger sur le trottoir quand le gardien de nuit de l’hôtel près duquel j’allais passer ma nuit me proposa de m’héberger au chaud.

Dimanche matin, 8h, je retrouve Magali pour un petit déjeuner en ville. Après m’avoir laisser payer le repas sous prétexte que le dimanche, à Cosne, ce sont les hommes qui sortent le portefeuille, nous marchons jusqu’au château avant de revenir, la tête emplie de souvenirs merveilleux, jusqu’au centre Athanor au sein duquel, pour retrouver nos compagnons ainsi que Solène et Roger.

Dimanche soir, 17h30, je dois partir. Accompagné par la douce voix de Magali me lançant un « bon débarras ! », je quitte la salle le cœur lourd, mais heureux.

 

Ricardsonnement vôtre.


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Blog de Phil Ricardson

par Sébastien Philippe 26 mai, 2023

Chapitre 1 :

Introduction à la théorie de l'univers comme décompresseur de données


L'existence, dans sa forme la plus brute, est une expérience de constante évolution et de changements imprévisibles. L'univers, avec son ballet d'étoiles, de planètes et de galaxies, se déroule dans un spectacle sans fin de création et de destruction. Pourtant, malgré cette apparence de chaos, il existe un ordre sous-jacent qui régit la réalité, une structure qui donne du sens à l'ensemble de ces mouvements apparemment aléatoires. Cette structure, selon la théorie présentée dans ce livre, est l'information.

L'idée que l'information est fondamentale pour la réalité n'est pas nouvelle. Les physiciens ont longtemps supposé que l'information est une composante essentielle de l'univers, une notion qui a été explorée en profondeur dans le domaine de la théorie de l'information quantique. Cependant, la proposition que nous mettons en avant va au-delà de cette idée, suggérant que l'information est non seulement essentielle, mais qu'elle est le substrat fondamental de la réalité.

Selon notre théorie, l'univers est un immense décompresseur de données, où la matière, l'énergie, l'espace et le temps ne sont que des manifestations de l'information en cours de décompression. Tout comme un fichier compressé sur votre ordinateur contient une multitude d'informations qui sont révélées lorsque vous le décompressez, l'univers est constamment en train de décompresser un océan de données chaotiques pour révéler la réalité que nous percevons.

Cette décompression se fait à différents niveaux et à différentes échelles. Au niveau microscopique, nous avons les particules subatomiques, où l'information est décompressée pour donner naissance à des particules élémentaires comme les quarks et les leptons. À une échelle plus grande, nous avons les atomes, les molécules, les cellules, les organismes et, finalement, les planètes, les étoiles et les galaxies. Chacun de ces niveaux est le produit d'un processus de décompression qui transforme l'information en quelque chose de tangible et de perceptible.

Mais qu'en est-il de la conscience ? Où se situe-t-elle dans ce tableau ? Selon notre théorie, la conscience est également un produit de la décompression de l'information. Notre cerveau est un décompresseur extraordinairement complexe, capable de traiter une énorme quantité d'informations pour créer notre expérience subjective de la réalité. Chacune de nos pensées, de nos perceptions et de nos émotions est le résultat de ce processus de décompression de l'information.

Dans ce chapitre, nous allons explorer en détail ces idées et examiner comment elles peuvent éclairer notre compréhension de l'univers et de notre place en son sein. Nous verrons comment cette théorie peut unifier de nombreux aspects apparemment disjoints de la réalité et offrir une nouvelle perspective sur les mystères les plus profonds de l'existence.

Chapitre 2 :Le concept de données et de décompression

Pour comprendre la théorie de l'univers en tant que décompresseur de données, nous devons d'abord comprendre ce que nous entendons par "données" et "décompression". Ces termes, bien qu'ils soient couramment utilisés en informatique, prennent un sens particulier dans le contexte de notre théorie.

Les données, dans notre théorie, ne sont pas simplement des bits et des octets, comme nous pourrions les comprendre dans le contexte de l'informatique. Au lieu de cela, nous parlons de données dans un sens plus universel, comme une forme fondamentale d'information qui peut être codée dans le tissu même de l'univers. Ces données sont partout autour de nous et en nous, imbriquées dans la structure même de la réalité. Elles sont l'information fondamentale qui, une fois décompressée, donne naissance à tout ce qui existe.

La décompression, dans ce contexte, est le processus par lequel ces données sont transformées en quelque chose de perceptible. C'est un processus qui se produit constamment et à toutes les échelles de l'univers, des plus petites particules subatomiques aux plus grandes structures cosmiques. C'est à travers ce processus de décompression que l'information fondamentale de l'univers se manifeste en tant que matière, énergie, espace et temps.

Cependant, toutes les données ne sont pas décompressées de la même manière. Certaines données sont décompressées localement, créant des poches d'espace-temps où le temps semble s'écouler à des vitesses différentes. C'est ce que nous observons dans les phénomènes comme la dilatation du temps près d'un trou noir, où le temps semble s'écouler plus lentement à cause de la grande quantité d'énergie (et donc de données) qui est décompressée.

De même, certaines données sont décompressées de manière à être enchevêtrées, créant des liaisons quantiques entre des particules distantes. C'est ce que nous observons dans le phénomène de l'intrication quantique, où l'état de deux particules peut être instantanément lié, quelle que soit la distance qui les sépare.

Dans ce chapitre, nous explorerons plus en détail ces concepts de données et de décompression, et examinerons comment ils peuvent éclairer notre compréhension de divers phénomènes dans l'univers. Nous verrons comment cette perspective peut apporter un nouvel éclairage sur des concepts tels que la superposition quantique, l'intrication quantique, la dilatation du temps et bien d'autres.

 

Chapitre 3 : Le concept de données et de décompression

Pour comprendre la théorie de l'univers en tant que décompresseur de données, nous devons d'abord comprendre ce que nous entendons par "données" et "décompression". Ces termes, bien qu'ils soient couramment utilisés en informatique, prennent un sens particulier dans le contexte de notre théorie.

Les données, dans notre théorie, ne sont pas simplement des bits et des octets, comme nous pourrions les comprendre dans le contexte de l'informatique. Au lieu de cela, nous parlons de données dans un sens plus universel, comme une forme fondamentale d'information qui peut être codée dans le tissu même de l'univers. Ces données sont partout autour de nous et en nous, imbriquées dans la structure même de la réalité. Elles sont l'information fondamentale qui, une fois décompressée, donne naissance à tout ce qui existe.

La décompression, dans ce contexte, est le processus par lequel ces données sont transformées en quelque chose de perceptible. C'est un processus qui se produit constamment et à toutes les échelles de l'univers, des plus petites particules subatomiques aux plus grandes structures cosmiques. C'est à travers ce processus de décompression que l'information fondamentale de l'univers se manifeste en tant que matière, énergie, espace et temps.

Cependant, toutes les données ne sont pas décompressées de la même manière. Certaines données sont décompressées localement, créant des poches d'espace-temps où le temps semble s'écouler à des vitesses différentes. C'est ce que nous observons dans les phénomènes comme la dilatation du temps près d'un trou noir, où le temps semble s'écouler plus lentement à cause de la grande quantité d'énergie (et donc de données) qui est décompressée.

De même, certaines données sont décompressées de manière à être enchevêtrées, créant des liaisons quantiques entre des particules distantes. C'est ce que nous observons dans le phénomène de l'intrication quantique, où l'état de deux particules peut être instantanément lié, quelle que soit la distance qui les sépare.

Dans ce chapitre, nous explorerons plus en détail ces concepts de données et de décompression, et examinerons comment ils peuvent éclairer notre compréhension de divers phénomènes dans l'univers. Nous verrons comment cette perspective peut apporter un nouvel éclairage sur des concepts tels que la superposition quantique, l'intrication quantique, la dilatation du temps et bien d'autres.


par Sébastien Philippe 15 déc., 2020

Texte en 2 parties (le passionné - la passionnée)


Part. 1 : le passionné

Définition de la passion :

« La passion est une très forte émotion tournée vers une personne, un concept, ou un objet produisant un déséquilibre psychologique (l'objet de la passion occupe excessivement l'esprit). Elle se traduit en effet par un sentiment d'excitation inhabituelle alternant plaisir et souffrance du fait de la baisse importante de la sérotonine (neuromédiateur responsable de l'état émotionnel de bonheur) et de l'augmentation de la dopamine (neuromédiateur provoquant la sensation de plaisir) qui active le système de récompense. Ce mécanisme est particulièrement marqué dans le cas de la passion amoureuse. La personne passe ainsi généralement d'un état d'euphorie à une sensation de manque vis-à-vis de l'individu, de l'activité ou de l'objet sur lequel elle se focalise. Dans les cas les plus extrêmes, la passion peut donner lieu à une situation d'obsession (dont l'amour obsessionnel et la dépendance affective) et de dépendance conduisant la personne qui la connaît à faire des choix néfastes, opposés à son bonheur, à ses intérêts ou à ceux de ses proches voire à commettre un crime passionnel ou aboutir à un suicide. » Wikipédia.

 

La sagesse nous dicte la patience et la vieillesse nous apprend la sagesse. Et pourtant, à l’aube de nos vies, ce n’est pas de patience ou de sagesse dont nous avons besoin, mais de vivre à l’excès.

Et quoi de mieux pour vivre à l’excès que la passion. Profiter des derniers instants, brûler la chandelle par les deux bouts. Mais finalement, qu’est-ce-que la passion ?

 

Nous sommes souvent animés par des paradoxes, par des dissonances entre nos actions et nos pensées, parfois même entre nos pensées elles-mêmes, et la passion en est un exemple flagrant. Aimer à l’extrême, souffrir à l’extrême. A en croire la définition de la passion, il s’agirait d’un déséquilibre psychologique lié à la baisse de la sérotonine et l’augmentation de la dopamine dans notre cerveau. Nous serions donc confrontés à un désordre hormonal lié à l’hypothalamus. Chaque personne possède un système limbique différent. Un peu comme pour la douleur, chaque individu à ses propres ressentis face aux stimulus internes.

Même si beaucoup connaissent le mot « passion » et les qualificatifs qui y sont associées, il s’avère que peu ont connu cette dualité déchirante d’émotions extrêmes.

Pour quelle raison ? d’un point de vue amoureux, ce que considèrent la plupart comme l’amour serait-il une passion pour certains ? Que ceux-ci n’auraient pas d’autres choix que d’aimer passionnément ? Et si c’était le cas, pourrait-on conclure que la passion serait l’apanage de certains chanceux (ou malchanceux selon) de leur (dys)fonctionnement hormonal/cérébral ?

La comparaison des émotions individuelles est délicate parce qu’elles sont impalpables. Nous ne pouvons mesurer l’amour, par exemple, que par les incidences qu’il génère en nous. Et ces incidences ne sont autres que nos actions et réactions.

Vous connaissez certainement le jeu avec une marguerite (et je ne parle pas du jeu sexuel avec Marguerite !) : je t’aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie.

Je trouve la métaphore assez parlante. La plupart des gens sont capables de nuances dans leurs sentiments parce que leurs émotions sont « régulées » par le cerveau. Est-ce le cas pour tout le monde ? Et si les récepteurs chimiques étaient saturés d’hormones chez certains ? et s’ils étaient tout simplement incapables de demi-mesure ?

En poussant la réflexion en ce sens, les gens passionnés auraient simplement cette particularité de ne pas avoir le choix que de vivre intensément. 

A mon sens, il n’existe pas d’amour passion sans amoureux passionnés. Malheureusement, dans ces cas-là, il reste difficile de se synchroniser émotionnellement et les excès en font que ces amours demeurent difficiles à tenir dans le temps. De là à dire que les gens passionnées sont incapables d’être amoureux simplement comme tout le monde, il n’y a qu’un pas, car il leur serait nécessaire de « basculer » d’un état à l’autre. La bascule étant complexe car, comme pour toute personne, la confiance en l’autre doit est absolue pour se lâcher entièrement.

En dehors du domaine amoureux, ces personnalités entraînent ce qu’elles font dans une spirale passionnée. Que ce soit dans le travail, dans les loisirs, la musique… tout est vécu intensément.

Finalement, qu’est-ce-qui nous définit ? la question, maintes fois posées, est pourtant sa réponse est le fondement de notre personnalité.

Sont-ce nos actions ? nos réactions ? nos émotions ? nos sentiments ? notre intelligence ? nos expériences ? notre environnement ? notre passé ?

Même si notre personnalité peut être définie par toutes ces caractéristiques et bien plus encore, certaines ont plus de poids que d’autres en fonction des individus.

Je dirais qu’en partant du postulat décrit plus haut, nos émotions donc, par incidence nos actions et réactions face à elles, peuvent prendre une part importante de nos vies. D’où l’importance de ne pas les ignorer.

Pour ma part, et très égoïstement et sans prétention aucune, je peux l’affirmer aujourd’hui, c’est la passion qui me définirait le mieux.

Et vous ?

 

Ricardsonnement vôtre


Part. 1 : la passionnée

La Passion, je pensais l’avoir vécue pendant 18 ans. Cette Passion amoureuse qui est censée nous encenser, nous déborder, nous rendre fou. Mais non, je me suis trompée. Je n’ai pas vécu LA PASSION. Je n’ai vécu que sa quête. Je n’ai fait que courir après elle, que la désirer et l’envier. Pensant parfois l’avoir touché du doigt…mais qu’ai-je donc vécue depuis tout ce temps ?

La quête d’un chemin non abouti, un chemin sans passion finalement, je me suis fourvoyée. Si nous regardons son étymologie nous pouvons donc comprendre uniquement que son sens premier, je pense que son étymologie reflète uniquement le chemin qui mène à elle, car elle, est bien plus raisonnée. Oui, oui…la passion est raisonnée car, unifiée dans le temps, et constante. Stable, elle nous permet de vivre pleinement notre vie.

« Il nous vient du verbe latin « patior », qui signifie « souffrir », « éprouver », « endurer », « supporter », et du substantif « passio », qui désigne la « souffrance » et la « maladie ». La « passion » serait donc, au sens premier, un état de souffrance et de dépendance, d’attente passive. Nous retrouvons cette acception dans notre verbe « pâtir », et dans « la passion de Jésus-Christ », expression qui évoque l’ensemble des épreuves endurées par le Christ jusqu’à son supplice et à sa mort. Nous savons que la « passion » a également été considérée par divers auteurs comme une « maladie de l’âme », nécessitant la recherche de « remèdes ».

Mais le concept a évolué ; la psychologie, et plus particulièrement encore la psychanalyse, définit aujourd’hui la passion comme un état affectif qui se manifeste par un attachement exacerbé, exclusif et durable à un objet, au point de dominer la personnalité du sujet et de déterminer son comportement »

« Attachement exacerbé » : sentiment intense, sa vivacité est particulière ; cet attachement serait alors l’unique besoin et non une envie…On peut relater cela à une drogue consciente.

« Exclusif » : exigence d’une allégeance unique à un objet ou un être, tout autre désir est relativisé, refoulé, passé en second plan. Le passionné attirerait donc le narcissique en quête d’être l’objet de tous les désirs ? encore une autre réflexion…restons centrés et passionné par la Passion (rire) !

« Durable » : contrairement à d’autres phénomènes psychiques telle que les pulsions ou les émotions, la concentration de l’intérêt du sujet passionné s’inscrit dans une certaine permanence !

Le comportement et la personnalité s’en transforment : le coup de foudre amoureux par exemple, marque une rupture dans l’équilibre intérieur, le passionné va ressentir et vivre de façon complètement différente, que ce soit dans ses : émotions, sentiments, désirs, que dans ses besoins.

J’ai passé ma vie à chercher la passion amoureuse, j’ai voulu la coller à certains, j’y suis presque arrivée ! non sans rire… j’ai cru aux belles histoires que l’on peut voir dans les films. Alors que la Passion m’apparait telle une évidence, j’en conclut que je suis un être doué de passionnalité. (on peut inventer des mots non ! ), me reste plus qu’a partager cette douance… 😉 


KF


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